Et oui vous ne l'attendiez plus, si si c'est bien un nouvel article, cette fois ce sera sur une petite escapade à la baie d'Halong en moto, malheureusement Amélie n'a pas pu faire partie du voyage, boulot oblige (ce sera pour une autre fois), du coup Maxime s'est fait accompagner d'un ami espagnol, Alberto. Située à 170 kms de Hanoi (4-5 heures de moto), la baie recense 1969 îles, et est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Pour nous y rendre, nous avons emprunté les routes non touristiques, et fait un détour sur le chemin aller, nous sommes passés par Haiphong, une ville portuaire ma foi très laide mais aux alentours les petits villages de pêcheurs sont très nombreux et complètement vierges de touriste, bref c'est la cambrousse, route en terre et autochtone s'arrêtant de bosser pour te regarder passer, les yeux écarquillés.
Le début de la baie au loin, avec des maison flottantes de pêcheur. Entre Haiphong et la baie d'Halong.
Sortis des villages, la route est aussi une digue qui protège les rizières et autres cultures de la mer.
Petite maison peinard.
Après avoir rejoint la ville d'Halong le soir et trouver un hôtel pour nous reposer d'une longue journée de moto, le lendemain matin après avoir fait des pieds et des mains pour trouver un bateau qui proposait un tour de 3 heures maximum, avec un prix minimum, nous sommes partis à l'assaut d'une des sept merveilles du monde et cette fois le temps était de notre coté.
Iles karstiques, eau couleur émeraude et village flottant étaient au rendez-vous, nous avons vu l'endroit le plus connu mais du fait que ce n'était pas la saison touristique, l'endroit était particulièrement paisible.
Ceci est le principal revenu des habitant de ce type de village flottant, c'est un marché aux coquillages et poissons, le tout est gardé vivant dans des viviers en attendant que la marchandise soit vendue.
Nous n'avons pas eu la chance d'y gouter car les prix étaient exorbitants pour nous simples touristes.
Et voila c'est la fin de ce petit tour dans la baie d'Halong, qui fût assez court, mais nous y retournerons plus longtemps avec Amélie, certainement en train pour ne pas subir la fatigue de la route.